Les espaces d’accueil et de services revisitent les “cafés maures“ des auberges orientales d’autrefois. - Ces refuges permettaient alors aux caravaniers et aux voyageurs, de faire halte sur la piste, et de déposer les selles, les armes et les bagages, le temps nécessaire au repos et aux échanges… - Après avoir pansé les animaux, soigné une plaie et pris un bain chaud, ils se retrouvaient, près du samovar, pour déguster le thé à la menthe ou le moka yéménite, pour savourer le bol de soupe à la cuillère de bois ou partager le couscous dans le grand plat convivial. - Puis, à la lumière des lanternes, sur les terrasses ou autour du “grand feu“, ils passaient leur nuit, fumant le narguilé, à négocier, à discuter de la route à suivre, mais aussi, à faire de la musique, et à jouer aux dames ou aux cartes andalouses … Au temps du GPS, de l’Ipod et de face-book…. LE “CAFE MAURE“ DE DAR TANIT VIT, A SA FAÇON, UN MEME DESTIN. |